in des études et période de vacances forcées obligent, j’ai décidé de profiter de tout ce temps libre pour découvrir ma région et ses merveilles. Il y a quelques temps, une amie m’avait parlé de pierres gravées situées non loin de chez nous. Pour une passionnée comme moi des cailloux, ce 1er novembre ensoleillé était l’occasion de partir à la recherche de ces pierres. Accompagnée de cette amie, je suis donc partie à la découverte des pierres inscrites de la vallée du Galbe.
Cette superbe vallée est située dans un petit coin de paradis appelé Capcir. Niché dans la vallée à plus de 2000 m d’altitude, se trouve un véritable trésor, une perle du patrimoine local, « las peiras escritas » : des pierres gravées datées du néolithique.
Soyons clairs, nous n’avons pas ménagé nos efforts, il faut compter deux bonnes heures et demie de rando, le tout en grimpette ! Mais comme en Capcir nous sommes gentils tout plein, le chemin est pavé de surprises qui nous font gentiment patienter jusqu’au trésor ultime.
Le départ se fait depuis Espousouille, un petit village très perdu mais fort sympathique des Pyrénées Orientales. Rendez-vous au fond du village en direction du refuge de la Jaceta, pour démarrer sa balade. Vous pouvez également passer par le lac des Camporells, mais n’ayant pas encore testé la route, je ne m’avancerai pas sur ces chemins.
Cette superbe vallée est située dans un petit coin de paradis appelé Capcir. Niché dans la vallée à plus de 2000 m d’altitude, se trouve un véritable trésor, une perle du patrimoine local, « las peiras escritas » : des pierres gravées datées du néolithique.
Soyons clairs, nous n’avons pas ménagé nos efforts, il faut compter deux bonnes heures et demie de rando, le tout en grimpette ! Mais comme en Capcir nous sommes gentils tout plein, le chemin est pavé de surprises qui nous font gentiment patienter jusqu’au trésor ultime.
Le départ se fait depuis Espousouille, un petit village très perdu mais fort sympathique des Pyrénées Orientales. Rendez-vous au fond du village en direction du refuge de la Jaceta, pour démarrer sa balade. Vous pouvez également passer par le lac des Camporells, mais n’ayant pas encore testé la route, je ne m’avancerai pas sur ces chemins.
Les deux refuges présents sur la route sont ouverts aux voyageurs de passage, mais vous pourrez aussi faire griller quelques roustes et organiser une cargolade au retour de votre périple ou au départ, pour vous donner de la force.
Pour s’y rendre, il faut suivre le chemin en direction du refuge des Camporells. Pas de panique quant à la durée, nous nous arrêtons bien avant pour nos pierres.
En route, vous pourrez remarquer une stèle commémorative en l'honneur des deux gendarmes pris dans une avalanche en 1979. Ce n’est pas très joyeux, mais la vue depuis ce site est imprenable ! Bonus : vous pouvez, de loin, voir le Canigò, emblème national des Pyrénées catalanes.
Si la route est longue, le paysage n’en reste pas moins magnifique ! Le chemin traverse la vallée du galbe, entouré des plus beaux sommets capcinois ! Et si vous ne faites pas l’erreur comme nous de partir en plein mois de novembre, vous aurez certainement la chance d’observer des rapaces, quelques marmottes et peut-être même une groupe d’isards (pour les non locaux, ce sont comme des chamois, mais version pyrénéenne). La vallée du Galbe est d'ailleurs bien connue pour son caractère sauvage et pour la faune qui peuple ce territoire.
Enfin, nous avons profité de notre balade pour découvrir de nouvelles caches, sournoisement dissimulées dans toute la vallée. (Si vous ne connaissez pas, promis, je vous fais un article très très vite sur ce concept, vous allez kiffer graaave !!!).
Trouver les pierres inscrites n’est pas chose aisée. En effet, celles-ci ne sont pas totalement accessibles par le chemin (lui-même pas très balisé), il faut s’en éloigner un peu pour les voir. Après avoir crapahuté deux bonnes heures, vous devriez arriver sur une sorte de plat (tout dépend de la personne qui décrit, pour ma part, je dirai plutôt une petite pentounette) entouré de mouillères (aie!aie!aie!). A partir de là, à quelques mètres plus haut, en contre-bas du chemin, las peiras escritas sont posées à même le sol. Ici, vous découvrirez enfin ces fameux symboles gravés au néolithique par nos ancêtres qui s’étaient eux-aussi installés dans cette vallée.
Pour s’y rendre, il faut suivre le chemin en direction du refuge des Camporells. Pas de panique quant à la durée, nous nous arrêtons bien avant pour nos pierres.
En route, vous pourrez remarquer une stèle commémorative en l'honneur des deux gendarmes pris dans une avalanche en 1979. Ce n’est pas très joyeux, mais la vue depuis ce site est imprenable ! Bonus : vous pouvez, de loin, voir le Canigò, emblème national des Pyrénées catalanes.
Si la route est longue, le paysage n’en reste pas moins magnifique ! Le chemin traverse la vallée du galbe, entouré des plus beaux sommets capcinois ! Et si vous ne faites pas l’erreur comme nous de partir en plein mois de novembre, vous aurez certainement la chance d’observer des rapaces, quelques marmottes et peut-être même une groupe d’isards (pour les non locaux, ce sont comme des chamois, mais version pyrénéenne). La vallée du Galbe est d'ailleurs bien connue pour son caractère sauvage et pour la faune qui peuple ce territoire.
Enfin, nous avons profité de notre balade pour découvrir de nouvelles caches, sournoisement dissimulées dans toute la vallée. (Si vous ne connaissez pas, promis, je vous fais un article très très vite sur ce concept, vous allez kiffer graaave !!!).
Trouver les pierres inscrites n’est pas chose aisée. En effet, celles-ci ne sont pas totalement accessibles par le chemin (lui-même pas très balisé), il faut s’en éloigner un peu pour les voir. Après avoir crapahuté deux bonnes heures, vous devriez arriver sur une sorte de plat (tout dépend de la personne qui décrit, pour ma part, je dirai plutôt une petite pentounette) entouré de mouillères (aie!aie!aie!). A partir de là, à quelques mètres plus haut, en contre-bas du chemin, las peiras escritas sont posées à même le sol. Ici, vous découvrirez enfin ces fameux symboles gravés au néolithique par nos ancêtres qui s’étaient eux-aussi installés dans cette vallée.
Aujourd’hui las peiras escritas ont subi les affres du temps et la tradition locale est de graver son nom à côté des petites bonhommes et des symboles qui ornent ces pierres. Le visuel est surprenant, vous pourrez retrouver le nom des plus anciennes familles capcinoises qui côtoient aujourd’hui les symboles laissés par leurs aïeux.
Si ces symboles ont perdu un peu de leur charme, la rando vaut le détour et il serait dommage de passer à côté de ce patrimoine à portée de pattounes !
Bisous !
Bonus photos :
Si ces symboles ont perdu un peu de leur charme, la rando vaut le détour et il serait dommage de passer à côté de ce patrimoine à portée de pattounes !
Bisous !
Bonus photos :